1971-2021 : Blackfin célèbre son 50e anniversaire et inaugure Black Shelter

vendredi, octobre 29 2021 | 15 h 31 min | Communiqué de presse, Événements, Nouvelles

Blackfin a célébré 50 ans d’activité en même temps que l’inauguration de son nouveau siège social, Black Shelter, une structure architecturale futuriste qui multiplie presque par trois la surface préexistante à Taibon Agordino, au cœur des Dolomites de Belluno.

Blackfin a célébré cette double réussite avec une grande fierté lors d’un événement qui s’est déroulé en octobre en présence des autorités locales et régionales, de tout le personnel et des amis de l’entreprise. La cérémonie a vu la participation du président-directeur général, Nicola Del Din, et du directeur financier, Giancarlo Recchia, mais également de Maria Luisa Pramaor qui, en 1971, eut le courage d’ouvrir un petit atelier artisanal de finition de lunettes, lançant ainsi celle qui est aujourd’hui une solide activité de la région et vise 12 millions d’euros de chiffre d’affaires pour fin 2021.

Une histoire faite de cohérence, de confiance et de ténacité, semée aussi d’embuches qui ont atteint leur paroxysme en 2007, période à laquelle Nicola a rencontré Giancarlo Recchia qui a cru en lui et en sa vision entrepreneuriale.

« Aujourd’hui, nous célébrons également la folie » – commence Nicola Del Din dans son discours aux invités – « la folie, selon certains, d’avoir décidé de construire notre siège ici et la folie de Giancarlo d’avoir décidé de croire en cette entreprise dont beaucoup pensaient qu’elle était au bord du gouffre ».

Le nouveau siège, appelé Black Shelter, est une extension supplémentaire du bâtiment d’origine qui avait déjà fait l’objet d’une rénovation en 2016. Il accueille aujourd’hui un effectif d’une centaine de personnes – entre bureaux et département de production, totalement internalisée – ce dernier ayant plus que doublé pour répondre à la demande croissante du marché. Le bâtiment est un véritable green building, le premier en Vénétie certifié CasaClima Work&Life qui certifie les trois piliers de la durabilité : écologique, économique et socioculturel, c’est-à-dire lié au bien-être au travail.

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