Lulu Guinness lance quatre nouveaux modèles solaires pour femme à la forme œil-de-chat (L114, L117, L122, L123). Les nouveautés mettent en vedette des cristaux, de l’émail et des imprimés italiens provenant de la collection de sacs à main de la marque. Les détaillants qui précommandent ces nouveautés et les font livrer avant la fin de l’année auront droit à un prix promotionnel. Le modèle 117 est notamment inspiré par la forme rétro Club Master, modifiée en ovale avec un coin en œil-de-chat. Le motif imprimé « chat sauvage » est utilisé sur le sourcil et les branches. http://www.tura.com/
EyeCheck en lice pour le prestigieux prix James Dyson
EyeCheck, une jeune entreprise fondée par des étudiants de l’Université de Waterloo, s’est classée parmi les 20 finalistes au James Dyson Award.
Le James Dyson Award (du nom de l’inventeur de l’aspirateur sans sac Dyson) est un prix de génie du design valant 46 000 $, en plus d’une somme de 18 000 $ remise à l’université du projet gagnant.
Développé par Ashutosh Syal et Daxal Desai, deux diplômés en ingénierie et conception des systèmes de l’Université de Waterloo, EyeCheck vise à offrir des soins oculaires abordables dans les pays en voie de développement, grâce à une application de téléphone intelligent, développée pour le BlackBerry 10.
L’application prend d’abord une photo d’une personne, permettant de voir si elle est myope ou presbyte ou de détecter une opacité dans les yeux. On peut par la suite prendre une photo de l’œil même. Celle-ci permet d’établir une prescription, qui doit toutefois être confirmée par un optométriste. Grâce à l’appareil, un examen de vingt minutes est ramené à environ trois minutes.
Pour l’instant, l’équipe travaille à développer des prototypes. Ses membres comptent aller faire des essais dans des « camps de soins oculaires » tenus dans des pays en voie de développement. « C’est une chose de travailler avec des organismes de charité ici au Canada, en dégustant une tasse de café, mais c’est complètement différent d’aller parler à des volontaires directement sur le terrain, en Inde », souligne Ashutosh Syal.
Source : http://www.insidehalton.com/news-story/4919630-dyson-award-has-eyes-for-waterloo-startup/
Première au Canada : deux patients reçoivent l’implant Argus II
Deux patients de l’Hôpital Toronto Western sont devenus les premiers au Canada à recevoir la prothèse rétinienne Argus II (Argus II Retinal Prosthesis Device).
Les deux patients ont perdu la vision à cause de la rétinite pigmentaire. Cette prothèse ne leur redonne pas une vision complète, mais leur permet de percevoir la lumière.
Chaque patient porte une paire de lunettes avec une caméra vidéo intégrée. Ils ont au préalable subi l’implantation d’une prothèse de la taille d’une efface de crayon dans la rétine. L’information de la caméra est transmise, sans fil, à des électrodes dans l’implant, et convertie en pulsations électriques. Ces dernières sont transformées en images, elles-mêmes transmises au cerveau. Le patient doit faire une réadaptation intensive pour apprendre comment traiter ces images.
L’implantation a déjà donné des résultats. La patiente Orly Shamir détecte désormais un carré qui bouge sur un écran d’ordinateur, qu’elle ne voyait pas du tout avant. Elle peut aussi voir une ligne en mouvement sur l’écran, ainsi que des bandes noires et blanches sur un tableau.
« L’appareil stimule la rétine de la même manière que le ferait la lumière, mais elle le fait électroniquement », explique le Dr Robert Devenyi, membre de l’équipe de médecins ayant procédé aux interventions.
Source : http://www.ctvnews.ca/health/bionic-eye-implants-let-canadian-patients-perceive-light-1.2052819
Nouvelle clinique de vision sportive à l’Université Waterloo
L’École d’optométrie et de sciences visuelles a désormais une clinique pour soutenir la recherche sur la vision dans les sports.
Dirigée par Dre Kristine Dalton, la clinique Sports Vision est une des premières au Canada à se concentrer sur ce sujet, et la première en milieu universitaire. Le fait de se trouver dans une université facilitera grandement les synergies entre la recherche et la pratique clinique.
Au cœur de la recherche se trouvera le rôle joué par la vision dans les performances d’athlètes de tous les niveaux de compétition. « La vision fournit aux athlètes la plupart des informations nécessaires pour pratiquer leur sport, c’est donc surprenant qu’un si grand nombre néglige d’entraîner ou de prendre soin de leurs yeux », s’étonne Dre Dalton. Elle rappelle que des études démontrent qu’un quart des athlètes n’ont jamais subi d’examen oculaire.
La clinique développera des examens standardisés pour mesurer les fonctions visuelles propres au sport et la coordination visuo-motrice. Elle fera des évaluations sur mesure et offrira des méthodes d’entraînement de la vision pour les athlètes. Par exemple, certains se verront offrir de porter des lunettes ou des lentilles seulement lors de la pratique de leur sport, ou encore d’entraîner leur coordination main-œil, leur temps de réaction et le contrôle des mouvements de leurs yeux.
L’OOQ et Santé Canada rappellent les risques associés au port de lentilles cornéennes cosmétiques à l’approche de l’Halloween
Dans un communiqué diffusé dans tous les médias, l’Ordre des Optométristes du Québec rappelle au grand public les risques de porter des lentilles cornéennes sans prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter les infections oculaires.
Pour sa part, Santé Canada recommande aux consommateurs de ne porter des lentilles cornéennes à but esthétique que sous la direction d’un professionnel de la vue et de ne porter ces lentilles que pour de très brèves périodes.
Pour connaître tous les détails, cliquez ICI pour lire communiqué émis.
