Google a encore trouvé le moyen de titiller la curiosité des technophiles récemment, en dévoilant une nouvelle vidéo de présentation de ses lunettes « intelligentes » Google Glass. Elle propose aussi un concours donnant « le droit » d’acheter (et non la chance de gagner…) les premiers exemplaires.

 

La nouvelle vidéo nous place dans la position du porteur, afin de montrer ce que l’on verra avec ces lunettes sur le nez. Le porteur pourra apparemment commander vocalement des opérations, notamment prendre des photos ou filmer une vidéo de ce qu’il voit. Il verra le résultat de son opération dans un petit carré sur fond gris transparent, dans lequel s’afficheront textes, photos et vidéos diffusés par les lunettes.

 

La vidéo et les photographies aussi disponibles sur le site dédié de Google laissent entrevoir de nombreuses possibilités d’usage pour ce nouvel appareil, qui vont toutes dans la même direction : celle d’avoir une déclinaison du téléphone intelligent à même nos lunettes. Les Google Glass semblent en effet destinées à rendre disponibles sur une nouvelle plateforme les applications déjà présentes sur les téléphones intelligents et les tablettes, comme les GPS, les textos, l’Internet, la téléphonie ou les vidéoconférences.

 

Pour visionner la vidéo, cliquez sur le lien ci-dessous :

http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/02/20/google-glass_n_2724246.html?ncid=edlinkusaolp00000003

 

Sources :

http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/02/20/google-glass_n_2724246.html?ncid=edlinkusaolp00000003

http://www.google.com/glass/start/what-it-does/

 

 

Des découvertes de chercheurs de l’Université Monash, en Australie, nous rapprochent d’un traitement des difficultés visuelles congénitales causées par des dommages au cristallin.

 

Le professeur associé Tiziano Berberi et la Dre Isabella Mengarelli travaillent à créer des parties d’œil humain en laboratoire. Ils ont franchi un pas important en créant et purifiant des cellules épithéliales. La pureté des cellules pave la voie à de futures applications en médecine régénérative.

 

Les chercheurs sont allés plus loin, provoquant la différentiation de ces cellules épithéliales en cellules du cristallin, créant ainsi une plateforme pour tester de nouveaux médicaments en laboratoire sur des tissus humains.

 

« Le cristallin a, jusqu’à un certain point, la capacité de bien guérir à la suite d’une intervention chirurgicale, explique le professeur Barberi. Toutefois, avec des cataractes congénitales, le problème est lié à l’ADN, alors le cristallin se reformera avec le défaut initial. »

 

Les chercheurs ne sont toutefois pas au bout de leur peine. « Les cellules de cristallin que nous avons créées sont organisées différemment de celles d’un œil humain, admet le professeur. Le prochain défi sera donc d’imiter la nature encore plus parfaitement. »

 

Source : http://www.sciencedaily.com/releases/2013/01/130131095232.htm

 

La myopie progresserait plus vite chez les enfants pendant les mois d’hiver que pendant les mois d’été, en raison d’une plus faible exposition à la lumière.

 

C’est du moins ce que tend à démontrer une étude effectuée auprès de plus de 200 jeunes danois de 8 à 14 ans souffrant de myopie, dont les résultats ont été publiés dans la revue Ophthalmology. Les chercheurs ont étudié à la fois la vision des enfants et la forme de leurs yeux.

 

Au Danemark, la durée du jour est de sept heures en hiver, et de près de 18 heures en été. Lors des six mois les moins lumineux de l’année, la myopie a progressé de 0,32 dioptrie, contre 0,28 dioptrie lors des mois les plus ensoleillés. Durant l’hiver, la longueur des yeux des participants a progressé de 0,18 mm, contre 0,14 mm durant l’été.

 

Les chercheurs n’ont pas analysé le nombre exact d’heures que les enfants passaient dehors, mais ont plutôt fait une moyenne en fonction de la saison. En raison des températures très froides, les enfants danois, comme les petits Canadiens, passent beaucoup moins de temps à l’extérieur durant l’hiver que durant l’été.

Sources :

http://www.reuters.com/article/2013/02/11/us-nearsighted-idUSBRE91A12E20130211

 

 

Hoya Vision Care Canada, et Clarion Medical Technologies, l’une des plus grandes compagnies médicales privées du pays, ont conclu un partenariat stratégique dans le but d’offrir un programme de fidélisation et de bénéfices aux professionnels de la vue.

 

À l’achat d’équipement de Clarion ou de lentilles Hoya, le professionnel aura droit à des rabais applicables à l’achat d’équipements. Pour les détails du programme, communiquez avec votre représentant Clarion ou Hoya. Ce partenariat a déjà permis à plusieurs professionnels de la vue de bénéficier d’un pouvoir d’achat accru. Les programmes d’OCT basés sur les systèmes Optovue iVue et iWellnessEXAM ont été très bien reçus dans le marché.

 

« Nous sommes heureux de travailler avec Clarion Medical Technologies sur ce programme », explique David Pietrobon, président d’Hoya Vision Care Canada. « Ce sont de très forts partenaires dans le marché canadien. Nous partageons un engagement et un dévouement envers le bien-être des patients et la croissance de la pratique, ainsi qu’envers la technologie d’avant-garde. »

 

De son côté, le vice-président à la direction de Clarion Medical Technologies, Joseph Arango, a qualifié Hoya de « choix parfait pour ce partenariat », citant notamment leur modèle d’affaires et leur compréhension des besoins des optométristes.

 

 

 

Les soldats ayant subi des chocs traumatiques au cerveau reliés à des explosions sont nombreux à souffrir de troubles de la vision, révèle une récente étude publiée dans Optometry and Vision Science.

 

Les chercheurs ont analysé les taux et les types de troubles de la vision vécus par 50 vétérans américains des guerres d’Irak et d’Afghanistan, ayant subi des chocs traumatiques au cerveau. Ils les ont comparés à ceux de 50 patients ayant subi des chocs au cerveau, qui n’étaient pas reliés à des explosions.

 

Les résultats ne montrent pas de grandes différences entre les deux groupes. Toutefois, ils démontrent clairement l’impact dévastateur de tels traumatismes sur la vision. Plus de 65 % de l’ensemble des patients avaient des troubles de la vue, incluant des difficultés à lire chez la moitié d’entre eux. Ils étaient aussi nombreux à souffrir de dysfonction accommodative ou d’insuffisance de convergence. Les vétérans étaient plus susceptibles de souffrir de sensibilité à la lumière, alors que les civils étaient plus nombreux à avoir des dysfonctions des saccades.

 

Entre 2002 et 2010, plus de 600 membres des Forces canadiennes ont été blessés en Afghanistan.

 

Source :

http://www.medicalnewstoday.com/releases/255875.php