SILMO Paris, rendez-vous incontournable de l’optique-lunetterie depuis 1967, invite les étudiants en design à relever un défi unique avec la 4ème édition du Concours Design Optique.
Valoriser les savoir-faire, soutenir la filière, et stimuler l’innovation : le SILMO affirme son engagement à travers le Concours Design Optique.
Véritable tremplin pour les talents de demain, ce concours offre l’opportunité aux étudiants d’écoles de design du monde entier de dépasser les frontières de l’innovation et d’explorer les innombrables possibilités du design dans l’univers de l’optique.
Un défi inspirant qui révélera leur vision du futur et les amènera à devenir acteurs d’une industrie en perpétuelle évolution !
THÈME DU CONCOURS DESIGN OPTIQUE 2025 : Lunettes Super Héros !
Cette année, le concours explore le potentiel des lunettes à transcender leur simple fonction. Les participants devront concevoir des montures innovantes capables de :
sublimer la vue et élargir notre perception du monde
transformer la vision et l’environnement qui les entoure
redéfinir les lunettes comme une technologie puissante,
bien au-delà d’un simple accessoire de santé
À travers des designs audacieux, les créations devront dépasser leur fonction pratique pour devenir des instruments de transformation, d’élévation et de réinvention de la vue et du monde.
Michel Penneman, Président du Jury
Designer et architecte d’intérieur belge de renommée internationale, Michel Penneman est reconnu pour ses rénovations d’hôtels innovantes et sa maîtrise de la narration architecturale et de la couleur.
Depuis ses premiers projets dans les années 90, il adopte une approche éclectique et conceptuelle, marquée par un intérêt particulier pour la lumière, la transparence et l’adaptation à l’esprit des lieux.
MODALITÉS DE PARTICIPATION
Le Concours est ouvert aux étudiants inscrits en 3e, 4e ou 5e année d’un cursus de design.
Les projets, soumis individuellement ou en équipe, doivent être soumis avant le 16 juin 2025, sur la plateforme dédiée.
CRITÈRES D’ÉVALUATION
Les créations seront jugées sur leur innovation, leur pertinence fonctionnelle, leur engagement responsable, et leur faisabilité technique.
Les finalistes seront annoncés en juillet 2025 et feront l’objet de prototypes, exposés sur le SILMO Paris 2025.
UNE RÉCOMPENSE PRESTIGIEUSE
En plus de la reconnaissance liée à sa réussite, le lauréat recevra un prix de 10 000 euros, réparti à parts égales entre lui-même et son école. Ce projet gagnant sera présenté sur le SILMO Paris 2026.
DATES CLÉS
16 JUIN – Clôture des inscriptions JUILLET – Annonce des nominés 26 SEPTEMBRE – Remise du Prix sur le salon
Kaleos présente cette saison Danforth, une monture optique rectangulaire de style aviateur, combinant un devant en titane épais et un cerclage en acétate haute densité. Affichant une fusion révolutionnaire de modernité, d’innovation technique et de qualité inégalée, ce modèle établit de nouvelles normes encore plus élevées en matière de lunettes pour hommes.
Distributeur et fabricant de grandes marques de renommées dans le milieu du sport, Lanctôt se définit comme leader dans l’industrie. Cette entreprise familiale canadienne, excelle dans la mise en marché de produits, se démarque par son sens de l’innovation, sa créativité incomparable, l’excellence de son service, sa proximité clients et l’engagement de son équipe.
Lanctôt fournit des produits de qualité sous 7 différentes divisions, soit : Ski, Vélo, Golf, Vêtement, Sport d’équipe, Optique et Mode.Notre expérience inégalée en matière de distribution, conjuguée à notre grande passion pour le sport, nous a permis d’acquérir plus de 60 ans d’expérience couronnées de nombreux succès, et ceci grâce à nos partenaires, clients et collaborateurs.
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CooperVision a récemment organisé une visite d’innovation pour 20 professionnels de la vue venus de partout au Canada dans son installation de fabrication ultramoderne, certifiée LEED®, située à San José, au Costa Rica. Cet événement de trois jours s’inscrivait dans le cadre du lancement canadien des nouvelles lentilles cornéennes clariti® 1 day multifocal 3 Add de l’entreprise.
Les participants ont eu l’opportunité de découvrir les coulisses de la conception et de la fabrication innovantes de toute la gamme de lentilles clariti 1 day de CooperVision. Ils ont également bénéficié d’une perspective unique sur les besoins des patients atteints de presbytie aujourd’hui et ont appris davantage sur l’engagement de l’entreprise en matière de durabilité. Le groupe a par ailleurs participé à la plantation de 75 arbres dans les forêts tropicales du Costa Rica, en partenariat avec Fundecor, une organisation de reforestation.
« Je me sens bien en sachant que lorsque je prescris les lentilles cornéennes clariti 1 day multifocal 3 Add, j’offre à mes patients une vision améliorée à toutes les distances et la liberté des lunettes de lecture, tout en contribuant à un impact positif sur l’environnement. »
Dre Pamela Schmitz, OD, Whitby Vision Care, Ontario
Beth Lennox, OD, est retournée à sa clinique en Ontario, Cambridge Eye Care, avec la motivation d’éduquer son équipe et ses patients sur les lentilles cornéennes CooperVision et leur approche durable. « C’était incroyable de voir de près la fabrication et les opérations durables, et d’apprendre comment CooperVision trouve des moyens novateurs pour devenir plus écologique, au bénéfice non seulement de nos patients, mais aussi de la planète. »
Une nouvelle étude publiée dans The Lancet présente les résultats d’un essai clinique de phase 1/2 évaluant une thérapie génique anti-VEGF en dose unique pour la dégénérescence maculaire liée à l’âge humide (DMLA humide). L’étude, menée par l’Université Johns Hopkins, a suivi 42 patients pendant 2 ans après leur traitement par thérapie génique.
La thérapie génique RGX-314 injectée produit un médicament anti-VEGF appelé ranibizumab (Lucentis), déjà couramment utilisé pour traiter la DMLA humide. L’injection directement dans la rétine permet aux cellules de produire leur propre médicament anti-VEGF, réduisant potentiellement le besoin d’injections régulières. Dans cette étude, une diminution de 60 à 80 % du nombre d’injections nécessaires a été observée. Après la thérapie génique, les patients ont eu besoin de 1 à 4 injections par an, contre environ 10 injections avant le traitement.
Ce traitement est actuellement en cours de validation dans deux essais cliniques de phase 3 à plus grande échelle pour confirmer sa sécurité et son efficacité.
J’ai grandi en étant incroyablement chanceuse. J’ai toujours eu accès aux soins de santé dont j’avais besoin. Je vivais dans une grande ville, mes deux parents avaient leur propre voiture, et nous avions les moyens de payer pour des services de santé. Bien que je savais que certaines régions du monde étaient en difficulté, je n’avais pas été confrontée à cette réalité durant mon enfance. Tout cela a changé pendant mes études en optométrie. Deux expériences marquantes au cours de ma formation en optométrie — dans une région rurale de la Colombie-Britannique et au Malawi, en Afrique — m’ont ouvert les yeux sur les défis immenses auxquels font face les communautés mal desservies pour accéder aux soins visuels. Ces moments ont non seulement transformé ma perspective, mais ils ont également allumé une passion durable pour aider à combler ces lacunes.
Ma plus récente expérience s’est déroulée lors de mon dernier stage de quatrième année. Je travaillais à FYidoctors Smithers, en Colombie-Britannique rurale. Mes journées préférées à la clinique étaient celles consacrées aux activités de sensibilisation : deux journées passées dans des petites communautés situées à environ une heure de route de Smithers, où nous réalisions des examens de la vue complets dans des écoles primaires. Nous étions bien équipés pour effectuer des réfractions complètes et des examens du fond d’œil. Mais ma première expérience d’optométrie hors de la clinique ne disposait pas d’autant d’outils. L’été suivant ma deuxième année d’études en optométrie, j’ai eu l’occasion de participer à un voyage VOSH au Malawi. J’y ai beaucoup appris sur les dépistages et la prestation de soins visuels dans des environnements non conventionnels. Et ma rétinoscopie s’est considérablement améliorée ! Comment aurait-il pu en être autrement lorsque je pratiquais jusqu’à cent fois par jour ? Et bien que cela ait été difficile en soi, il y avait de nombreux défis à relever lors de ces dépistages et examens. Bien que mon temps au Malawi et en Colombie-Britannique rurale se soit déroulé dans des régions du monde très différentes, les défis rencontrés étaient étonnamment similaires : barrières linguistiques, ressources limitées et un besoin immense de soins visuels de base.
La barrière de la langue
Au quotidien, nous sommes tous confrontés à la barrière linguistique que représente le jargon médical. Nous devons être capables d’expliquer des termes comme « astigmatisme » et « rétinopathie diabétique » aux patients en utilisant des mots simples qu’ils peuvent comprendre. Mais lorsque nous ne parlons pas la même langue de base, il devient difficile, par exemple, de demander au patient de regarder dans une direction spécifique pour effectuer un simple test.
Au Malawi, nous utilisions un tableau à « E » rotatif pour évaluer l’acuité visuelle. Bien que nos alphabets soient similaires, nos sons et nos mots ne l’étaient pas. Les patients indiquaient donc l’orientation de la lettre « E » à différentes tailles. Nous avions également appris des phrases de base dans leur langue, bien que notre prononciation ait probablement laissé à désirer. Pendant les journées de sensibilisation en Colombie-Britannique, le niveau d’éducation de certains enfants n’était pas à la hauteur des attentes, ce qui rendait difficile même la collecte d’informations de base comme l’acuité visuelle. Heureusement, j’ai pu appliquer mes connaissances acquises au Malawi, notamment en utilisant des tableaux d’acuité visuelle simplifiés et mes compétences grandement améliorées en rétinoscopie pour mieux comprendre les besoins visuels des enfants. Dans les deux cas, les tests objectifs étaient essentiels, ce qui est particulièrement difficile lorsque vous n’avez qu’un an et demi d’expérience et que vous n’avez pas encore totalement confiance en vous.
Les ressources limitées
Un autre obstacle majeur est l’accès aux services et produits nécessaires. Il ne suffit pas de déterminer qu’un patient a besoin de lunettes. La prochaine étape est cruciale : quelles montures et quels verres sont dans leur budget ? Où les lunettes seront-elles fabriquées ? Comment les lunettes seront-elles livrées au patient ?
Ces questions importantes ne sont pas abordées à l’école. Nous apprenons à prescrire les meilleurs soins possibles pour nos patients, ce qui fonctionne bien dans un environnement plus aisé. Mais que faire lorsque votre patient n’a aucun moyen de se rendre à l’opticien pour choisir une monture ou même pour prendre ses mesures ?
En Colombie-Britannique, nous apportions quelques montures simples pour que les enfants puissent les essayer, et nous prenions les mesures sur place. Les lunettes étaient ensuite commandées au laboratoire et expédiées à l’école, ce qui les rendait plus accessibles aux élèves.
Au Malawi, les lunettes données étaient une bénédiction. Lors d’un projet à l’école d’optométrie, nous avons utilisé nos nouvelles compétences avec un frontofocomètre pour déterminer la prescription des verres donnés. Nous avons rempli une valise avec ces lunettes et des lecteurs à faible puissance additionnelle, ce qui nous a permis de facilement prescrire des lunettes pour enfants et des lunettes de lecture pour adultes, ainsi que quelques prescriptions plus spécifiques.
Le suivi des soins
Au-delà des lunettes, il existe certaines conditions que nous identifions et qui nécessitent des soins d’un médecin généraliste ou d’un spécialiste. La rétinopathie diabétique, par exemple, doit être surveillée par un médecin généraliste. Le strabisme peut nécessiter une thérapie visuelle ou même une chirurgie. Et les cataractes doivent être retirées par un ophtalmologiste.
Au Canada, il devient de plus en plus difficile de trouver un médecin de famille. Et au Malawi, c’était encore plus rare. Lorsque nous rencontrions des enfants atteints de kératoconjonctivite vernale (VKC), nous écrivions des prescriptions de stéroïdes sur du papier brouillon et espérions que nos traducteurs expliquaient clairement qu’ils devaient les apporter à une pharmacie.
Le suivi des soins devient donc une difficulté majeure dans ces situations. À Smithers, l’ophtalmologiste le plus proche se trouvait à plusieurs heures de route. Avec d’autres obstacles tels que le transport, ces cas deviennent encore plus difficiles à gérer.
C’est là que l’importance de pouvoir prescrire des médicaments et effectuer des procédures mineures devient évidente. La pratique de l’optométrie rurale a élargi mes connaissances en gestion des maladies oculaires, simplement parce qu’il n’y avait pas d’autre option pour ces patients.
Conclusion
Je n’ai pas toutes les réponses aux questions qui se posent lorsque l’on pratique l’optométrie hors de la clinique. Je ne pense pas que quelqu’un puisse complètement résoudre tous ces problèmes. Mais certaines personnes y travaillent.
Mon superviseur en Colombie-Britannique était très enthousiaste à propos d’une nouvelle opportunité offerte par FYidoctors : une clinique d’optométrie mobile créée à partir d’un autobus. Cet autobus était équipé d’une salle d’examen complète, d’un système de champ visuel virtuel et d’un espace de stockage pour montrer des modèles de lunettes, et il pourrait se déplacer dans les régions rurales pour fournir des soins visuels.
C’est juste un exemple de prestataires qui travaillent pour aider les gens dans leur communauté particulière. Cela m’inspire à continuer à chercher des solutions, moi aussi.
Bien que ces défis persistent, je reste déterminée à trouver des solutions et à plaider pour un meilleur accès aux soins visuels, tant au Canada qu’à l’étranger. Chaque patient mérite la chance de voir clairement, et je suis déterminée à jouer mon rôle pour que cela devienne une réalité.
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